Que l’on soit une entreprise, une association, un quartier ou un simple particulier, tous, à titre collectif ou personnel, nous participons à l’édification d’une mémoire commune.
Quel que soit notre récit, nous entrons en interaction avec l’Histoire avec un grand H. Car nous la subissons autant que nous la créons. En effet, c’est elle qui nous fait, et c’est nous qui la faisons.
Et que nous le voulions ou non, au final, cette mémoire collective contribue à créer notre identité et à créer un lien d’appartenance entre nous.
Faire mémoire de ces récits, c’est ressusciter des événements, des personnes, des manières de vivre, des mentalités.
Non pas pour faire œuvre de musée,
mais pour faire œuvre d’à-venir…
Faire mémoire de ces récits, c’est devenir passeur d’Histoire…
Transmettre un savoir-faire, un savoir-être,
avec toute l’épaisseur – la chair – d’un vécu.
Faire mémoire de ces récits, c’est créer des ponts.
Des liens.
entre les générations,
mais aussi entre les habitants d’un même quartier,
ou encore entre les membres d’une même association,
ou enfin entre chefs d’entreprise, collaborateurs et partenaires…
Entre le passé et l’avenir…
Faire mémoire, écrire ses mémoires, c’est sortir de la nuit de l’oubli
tout un monde révolu… Des lieux, des voix, des histoires, des odeurs…
Un champ de blé au couchant du soleil… des vacances au bord de la mer…
C’est aussi rendre hommage à ceux qui ne sont plus,
et grâce auxquels vous êtes devenu ce que vous êtes aujourd’hui.
Et c’est aussi rendre compte de toute une expérience, votre expérience… unique, profonde… cette expérience que vous voulez partager à ceux qui, plus jeunes, marcheront sur vos traces… et devenir par là, peut-être, un premier de cordée ou un guide sur ce chemin pas toujours simple qu’est la vie !
Afin que votre expérience ne reste pas uniquement votre expérience, votre bien propre, mais que tous puisse se l’approprier…